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  • Création : 17/08/2008 à 11:27
  • Mise à jour : 05/10/2008 à 12:48
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Ses archives (17)

  • SCORPIONS - SAVAGE AMUSEMENT
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  • TOXXIC TOYZ - F.E.A.R.
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SCORPIONS - SAVAGE AMUSEMENT

J'entends d'ici ceux qui grincent des dents à la vue de cet album. Méfiez-vous de l'eau qui dort. Beaucoup diront qu'il s'agit du début de la fin pour les Scorps à la sortie de cet album.

Pourtant, à la première écoute, il s'agit bien de hard rock, légèrement FM, plus nuancé que son prédécesseur et irrésistiblement radio mais il s'agit avant tout de hard rock.

Don't Stop At The Top : Une intro qui peut faire penser à "Joyeux Anniversaire" mais après, c'est un départ de la section rythmique assez rentre-dedans qui fait place. La voix de Klaus Meine, toujours sublime et les solis de Matthias Jabs sont impeccables et limite shred (n'en a t-il pas l'étoffe ?).

Rhythm Of Love : Très connu des fans, cette sublime song à la caisse claire percutante entretient quelques bribes d'un Love At First Sting, surtout dans le refrain. Un clip très sexy... comme beaucoup de clips du groupe.

Passion Rules The Game : Moins inspiré, de par une rythmique simpliste, Passion est tout de même fort plaisant, surtout pour le solo final court et génial. Un tube pour le groupe.

Media Overkill : Matthias joue de sa talk-box qu'il avait déjà usé sur The Zoo, huit ans plus tôt. Cette song sonne très Fm avec une charleston programmée comme sur Passion. Le refrain est très accrocheur.

Walking On The Edge : Voici une autre pépite de l'album. Ce morceau est une fausse ballade car le refrain est plutôt agressif. Le solo est inspiré et le pont qui revient deux fois sonne très Fm encore une fois.

We Let It Rock... You Let It Roll : Premier titre agressif de l'album avec ses cris plaintif. Scorpions a du mordant et le solo, entre harmoniques artificielles et penta mélodique est un grand moment de l'album.

Every Minute, Every Day : Peut-être la chanson la plus triste et la plus cafardeuse de l'album. Ses coeurs désespérés, sa reverbe cruelle donne au morceau un parfum de conclusion.

Love On The Run : Voici le titre le plus dépouillé du disque. Un speed à la manière de Blackout à la diffénce que Love On The Run est moins accrocheuse et même ses irrégularités de rythme et de placements ne font pas oublier que ce speed est conventionnel. Mais spéciale ovation à Matthias pour le solo et ses parties de tapping.

Believe In Love : Malgré un refrain un peu mielleux et bien loin des slows du groupe, Believe In Love possède une beauté rare. Une intro de Rudy mélodique et accrocheuse.

La tournée qui suivit cet album sera la plus marquante pour Scorpions qui sera officiellement le premier groupe occidental à ouvrir pour l'Allemagne de l'est et même Moscou.

Point fort : Toujours la fraicheur malgré les mauvaises langues.
Point faible : Un mixage pas très judicieux sur la réédition 2002.
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#Posté le dimanche 24 août 2008 06:31

DIRE STRAITS - LOVE OVER GOLD

Il s'agit pour moi du meilleur album de Dire Straits, le plus représentatif de Knopfler and Co. Il remporte le suffrage devant Brothers In Arms.
L'esprit cinéma de l'album transparait et fait de cet album imagé une aventure nocturne.
Il s'agit là de l'album le plus sombre des Straits.

Telegraph Road (14:16)
Un début inquiétant, un coup de tonnerre presque imperceptible. Une pointe délicate de clavier.
Démarre alors la guitare acoustique de Mark et un piano de grande classe.
Ensuite, le rythme plomb et la guitare clean chère à Knopfler (et reconnaissable entre toutes) fait des ravages.
Une suite à tiroirs bien construite. Un break piano avant un solo d'anthologie jusqu'à la cavalcade finale, sorte d'apothéose musicale.

Private Investigations (6:50)
Qui n'a pas frétillé en entendant ce début ? On pense toujours à une ruelle obscure, un chat de gouttière, un homme qui rôde. Le ton est lancé et ne sera jamais plus "cinéma" que sur ce hit de Dire Straits. Si tant est que le terme "hit" est réducteur.

Industrial Disease (5:49)
Il s'agit du titre le plus énergique et gai du disque. Le tempo est rapide et les synthés subtiles. Les paroles évoquent les maladies industrielles (d'où le nom) et les problèmes de santé liés au travail.
Quand j'avais la K7, j'avais toujours cru que la bobine couinait, mais en fait, c'est dans l'enregistrement !
On peut retrouver ce thème sur une vieille publicité pour les cahiers Clairfontaine.

Love Over Gold (6:45)
Voici un petit bijou progressif. Piano et guitare classique de rigueur. Toute l'étendue guitaristique de Knopfler. Tout y est subtile comme les arrangements. Un vrai délice de qualité.

It Never Rains (7.24)
Peut-être moins populaire, cette dernière épopée et de loin le meilleur final sur un album des Straits.
Et un solo final qui ne finit jamais pour notre plus grand plaisir et une méthode guitaristique atypique de notre Mark.

Ce disque s'adresse aux fans de Knopfler et de progressif aussi.

Le disque est sortit en 1982 et ce fût le premier très gros succès mondial avec un numéro 1 au pays de l'oncle Sam et de l'union Jack.

Ne soyez pas effrayés par la durée des morceaux, tout est simplement enivrant et au bout du compte trop court.

Sachez par ailleurs que l'album devait comporté au départ 2 titres de plus :

Twisting By The Pool (3.27)
Connu sur Money For Nothing, première compilation de Dire Straits. Mais écarté parce qu'il aurait tranché avec l'ambiance froide et sombre du disque.
Ce titre est un rockabilly dansant dans la veine de Walk Of Life. Il fut réédité en face B pour le single The Bug en 1992.

Et Private Dancer, mais qui fut offert à Tina Turner parce que pour la même raison, ce titre ne collait pas au contenu de l'album.
Ce titre fit ni plus ni moins redécoller la carrière en sommeil de LA chanteuse rock black.
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#Posté le dimanche 24 août 2008 06:22

TOXXIC TOYZ - F.E.A.R.

Toxxic Toyz, c'est avant tout un groupe de copains. Basé sur Cannes, il fait doucettement parler de lui via quelques petits concerts sur les scènes locales qui deviennent au fur et à mesure plus nombreux.
Leur album connait une petit notoriété parmi les initiés. Il s'agit de heavy metal technique à forte couleur progressive et mélodique portée par la voix rocailleuse et rageuse de Arvi Kaint.

Faisons un tour de disque pour chroniquer cet album qui mérite soit dit en passant un bravo, ne serait-ce que pour le travail effectué, la très bonne production et la très belle illustration de la pochette signée par Jean-Pascal Fournier.

L'album débute par une porte qui grince, puis un rire "sadico-mystique" avant que les harmonies de guitares prennent le relais dans un flot mélodique imparable. Il s'agit de Mystify qui injecte le venin qui coulera tout au long des soixante minutes du disque.
Tout de suite, on peut sentir les diverses influences du groupe dont une est incontestable : Iron Maiden, mais c'est peut-être qu'une impression.
Des harmonies qui se font nombreuses et inspirées, des solis shred au sweeping impeccable. Le tout bercée par une voix granuleuse et agressive tout en restant dans le propre de la mélodie.

S'ensuit l'intro classieuse du rapide et puissant Magic Kingdom au refrain bougrement accrocheur et encore là, des harmonies à pleurer (mais il faut dire que j'aime ça). La batterie est précise, chirurgicale et appliquée. La grosse caisse est d'ailleurs pas pesante contrairement à beaucoup de groupe qui en usent et en abusent.

S'ensuit le lourd Killing Dreams, avec harmonies artificielles de rigueur, véritable bombe heavy doublée de moments calmes d'arpèges délicats et un refrain simple mais couillu. La voix de Arvi devient plus tendre sans verser dans le facile sirupeux. Nos deux gratteux, Arvi Kaint (qui officie aussi à la six-cordes jaune) et Fred Burst s'en donnent à c½ur joie.

Pretty Baby est nettement moins personnel à mon sens, très mélodique, légèrement tintée FM comme en atteste un beau refrain aux ch½urs maitrisés et un clavier discret en arrière plan pour donner une dimension plus aérienne aux riffs. Les solos se font plaintifs et toujours ultra technique (je tuerais pour avoir ce jeu). Un morceau au potentiel commercial si on se transpose vers la fin des années 80).

Une voix narrative introduit l'injection suivante (So Sorry), une dose de heavy metal mid-tempo efficace. Peut-être moins évident que son prédécesseur mais au contrebalancement lourd qui pousse à remuer la tête ou à taper du pied pour les attaqués des cervicales.
Spécial "holà" pour le double solo (des duellistes du manche) qui dépote et nettoie les cages à miel.

Intro batterie avec larsen fulgurant et riff simple à la Guns. Il s'agit de Love Sincere, dans un registre donc très tinté 80's avec deux rythmiques qui se complètent bien. Huit minutes de folie où s'enchainent les violons d'Ingres que sont les harmonies pour ce groupe et les chorus qui assomment sans protection.
La pause batterie/basse permet de se concentrer un peu sur la basse légèrement noyée dans le mix par moment, ce qui est dommage vu que Elrick Welsch gère terriblement bien au doigt.

Bruit de miroir cassé, comme en atteste le nom du morceau (Broken Mirror) qui n'est pas ma préférée mais est diablement agressive. Le passage calme est astucieux pour reprendre ses esprits.

In The Middle Of Nowhere, instrumental très court et en Mi et Fa introduit le monstrueux Leave Me Alone, suite austère et lourde de riff, d'un couplet/bridge/refrain tout à fait délicieux et légèrement lyrique (encore une de mes impressions). La voix de Arvi se fait légèrement prise d'un désespoir, confirmée par un texte clair et limpide contre qui. Seul l'auteur (Monsieur Kaint en l'occurrence) le sait.

Tombe la pluie sur le dernier titre (officiellement bien que les éditions de l'album contiennent tous un bonus track pas très utile puisqu'il s'agit de la version Edit de Pretty Baby). Evil's Face est le morceau le plus sombre (à mon humble vision, influencée par ailleurs par le titre lui-même). Une batterie mitraillette et des passages à tiroirs imparables.

Point fort : un sens accusé de la mélodie qui tue et des solos abrasifs. Des harmonies qui font mouche. Un album très bien produit qui n'accuse aucune faiblesse quand à l'énergie.

Point faible : et c'est là que tout le monde s'accorde. Un album difficile à apprivoiser (j'ai mis un moment aussi) et très tinté eighties, ce qui a pour conséquence une indifférence relative des néophytes puants de la musique. Désolé pour "puants", c'est les nerfs.

Le saviez-vous ?
Bruce Dickinson (chanteur de Iron Maiden pour les têtes maigres) a fait une chronique de Toxxic Toyz en diffusant Magic Kingdom, l'un des meilleurs morceaux de l'album.
Vous pouvez écouter et lire pour plus de détail sur sa vision :
http://www.toxxictoyz.com/t/tox_presse.php?id_article=250

Magic Kingdom
http://fr.youtube.com/watch?v=SJ-E4aP3JkI
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#Posté le mardi 19 août 2008 12:41

Modifié le lundi 25 août 2008 05:51

MIKE OLDFIELD - OMMADAWN

Ommadawn, c'est du gaélique qui veut dire idiot. Ce n'est pas pour autant que cet album est une farce.

La plus aboutie avec Tubular Bells, cette suite nuancée, mélange de guitares meurtries et ch½urs éthérés, fait de cet album est une histoire.

Tout commence par une mélodie planante de guitares classiques et des nappes de voix inquiétantes. La musique communique soudain avec nous comme pour nous conter ce qui va suivre. Puis la guitare reprend ses droits pour un amoncellement de notes qui coule comme la sueur. La flûte rassurera bien les esprits deux minutes mais la tension gagnera de vitesse après un calme insolent et sournois. Les rythmes tribales démarrent alors.
Tout au long du premier thème, la tension ira crescendo jusqu'au final, l'apothéose de l'album.

Le deuxième thème bien que moins énigmatique laisse un goût écossais et irlandais dans le c½ur. Il commence par un thème dramatique de guitares surimprimées sur la bande et ne nous lâchera que blessé. La folk démarre alors d'une manière cristalline. Plus de mal... l'écosse est là (ceux qui ont vu Braveheart reconnaitrons l'instrument). L'esprit autiste de Mike n'arrangea pas les choses et la mélancolie nous gagne.

La petite fable de 3 minutes nommée On The Horseback et qui clôture le disque, sur laquelle Mike chante et s'accompagne d'un ch½ur d'enfants est une merveille digne d'un Simon And Garfunkel. Du pur folklore croisé au celtique.

Mike ne réussira plus à faire vibrer autant malgré les bonnes intentions de Incantations et de Amarok qui est plus psyché et déjanté.

Et pour que vous vous fassiez une idée (faites copier/coller) :

http://www.youtube.com/watch?v=U76Z8PjT-s0
http://www.youtube.com/watch?v=uA2SBjI7d0s
http://www.youtube.com/watch?v=X6E69WCMmRE
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#Posté le mardi 19 août 2008 11:26

JUDAS PRIEST - DEFENDERS OF THE FAITH

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Clip vidéo de Freewheel Burning.

S'il ne devait rester qu'un album de Judas Priest, tablons sur l'énergique et mélodique album qui finit de consacrer Priest comme les rois du heavy metal. Sortit en 1984 à l'époque des grands albums de hard comme Love At First Sting, Powerslave...

Freewheel Burning : Introduction de l'album ultra-rapide et nerveux avec la voix suraigü de Rob Halford. Un solo plaintif et des harmonies de guitares maitrisées.

Jawbreaker : Le solo est de KK Downing et c'est de loin son meilleur avec celui de Ram It Down. Rapide, furieux...

Rock Hard Ride Free : Une intro de stade qui fleure l'hymne metal. Des solos inspirés, des harmonies de guitares (très présentes sur l'album) et des vocalises en puissance. Le titre est très connu des fans.

The Sentinel : C'est repartit pour le tempo rapide avec le très complexe un titre nuancé et lugubre. L'une de mes préférées.

Love Bites : Il s'agit d'une curiosité qui se base plus sur les exhibitions de Rob que sur les guitares assommantes de la paire Downing/Tipton. Fascinant sans être inoubliable.

Eat Me Alive : C'est repartit pour le speed qui tâche. Ce titre est furieux et les duels de solos reprennent de plus belles même si les parties de Tipton sont plus fluides que celle de son comparse.

Some Heads Are Gonna Roll : Encore un tube sur l'album. Evidemment, ce n'est pas le meilleur mais le ton est inquiétant.

Night Comes Down : Place au génial power slow de Priest. Un refrain inspiré et des harmonies de guitares émouvantes.

Heavy Duty/Defenders of The Faith : Par contre, on aurait pu s'attendre à l'aphotéose musicale pour le final. Mais il ne s'agit que d'un doublon taillé pour les stades de foot à l'instar de Take On The World.


Points forts : une grande énergie, des mélodies dévastatrice et une couleur sombre.

Points faibles : La fin du disque n'est pas ce que méritait l'album.

Sortit en 84 chez Columbia.

Platine aux States avec un million d'exemplaires.

Line-up :

Rob Halford : Chant
KK Downing : Guitares
Glenn Tipton : Guitares
Ian Hill : Basse
Dave Holland (non ce n'est pas le frère de François) : Batterie
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#Posté le dimanche 17 août 2008 13:19

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